J’avais demande a ce soumis de m’écrire, m’écrire ses pensées, ses envies, ce qu’il aimerait que je lui fasse. Mais… il a cru bon de mettre de jours a le faire… alors durant des jours il a attendu…

Car la règle était claire : nous ferions ce qu’il écrirait, tant qu’il n’écrirait pas,  nous ne ferions rien.

Et puis quand éventuellement je lui ai rendu visite, il a tourne en rond dans le lit comme un lion en cage toute la nuit ! J’ai feins de ne pas le remarquer. Au petit matin, je me demandais ce qu’il avait ressenti de n’avoir a nouveau rien pu faire et me le faire sentir... mais a ma grande surprise il s’est montre aux petits soins...  il m’a apporte mon café et cherche mes pains aux raisins favoris.

J’ai traine au lit une bonne partie du matin,  jusqu’a ce qu’il arrive sortant de la douche, une serviette autour des reins... c’était trop tentant ! Il fallait que je le titille! J’ai attrape un coin de serviette qui passait a la portée de ma main et l’ai fait tombée. Je l’ai alors regarde, sa bite, ses yeux, encore sa bite, puis ses yeux... et lui ai demande d’un air coquin : alors, elle tient toujours le coup ? 

Si je me souviens bien, c’est un grognement qu’il a émis! Il semble sincèrement… fruste, c’était jouissif !  J’avais l’impression de me voir lorsque mon Maitre s’amuse à me priver parfois, et la douce folie qui m’envahit, puis grandit, grandit… de ne rien pouvoir y faire! J’aime assez retrouver cette sensation sur le visage d’un homme qui cherche à me plaire…

J’ai commence à l’effleurer... elle s’est dressée presque instantanément ! Je lui ai fait dans un clin d’œil : tu vois, elle m’obéit ! 

Il a voulu remettre sa serviette,  un peu gène que je l’humilie ainsi. Alors j’ai ajoute, l’air étonnée : « je ne peux pas y toucher  quand je veux ? »  Un peu gène de son geste, il m’a répondu que si, et a rouvert la serviette. « Je préfère ca ! »

J’ai glisse mes doigts dessus doucement m’approchant de lui... frôlant sa peau... histoire de bien l’allumer, et lui ai ordonne: « lèche moi.» il s’est abaisse sans broncher, content même, j’en suis sure, alors que je retirais mes dessous et s’est exécute.

Je le lui ai dit et aussi que j’étais tout de même contente de lui lorsque je le voyais s’exécuter ainsi, et voila qu’aussitôt, il m’a regarde avec des yeux de chiens battus et m’a dit : « laisse moi te prendre... je ne pouvais pas y croire !!! Comment pouvait-il être aussi arrogant ?

Je l’ai simplement regarde dans les yeux et lui ai dit : non

Lui : « ca fait une éternité que je n’ai pas pu te prendre... ca ne te manque pas ? »

Moi : Non ! Tu n’as qu’à m’écrire

A ce moment, il était fou de frustration.

lui : « aaahhhhhh ! ! ! ! ! Je t’écris la suite, c’est promis !  Je te raconterai tout, ce que je ressens, aime, m’aime pas, fantasme… bref tout ce que j’ai en tète depuis que tu m’as pris en main ! »

L’apres midi il a passe un bon moment à écrire pendant que je bouquinais tranquillement, alors qu’il avait presque termine, je lui ai annonce que je rentrais chez moi, j’étais trop fatiguée pour le lire maintenant…

Apres tout, il fallait bien punir de m’avoir fait attendre aussi longtemps, non ?!

;-)