Je ne sais pourquoi, l’envie m’a prise ce soir de feuilleter quelques photos de nos aventures, et puis d’image en image se sont réveillés tour a tour souvenirs, désirs, envies, envie de son odeur, de sa voix, sa peau, son sourire, sa présence comme on rêve a un mec que l’on n’aurait pas encore effleure...

C’est incroyable comme dans le noir, dans la nuit, le moindre son est tout de suite perceptible et met mon imagination en ébullition rien que d’y penser...  je me caresse et je m’imagine que c’est lui... je crois percevoir le murmure de ses mains se promenant sur ma peau.

Je l’imagine et promène mes doigts sur ma chatte.... j’entends le bruit de sa main sur le duvet... m’imagine-t-il quelquefois en train de me faire plaisir? Humm...  j’aime assez cette idée.

Pour me calmer depuis tout a l’heure, je me baisse, m’agenouille, frôle la couette...  et puis presque en faute, saisis mon index et le porte a ma bouche... le passe doucement sur mes lèvres, le suce doucement d’abord, puis de façon plus gourmande...  le dirige timidement vers ma chatte au son de la musique.

Je me caresse de cette main que je voudrais la sienne. Elle me connaît si mieux !

J’entends encore ses conseils a mes débuts, puis a mes rencontres féminines... doucement gérer la pression, les mouvements... et puis, étrangement, au moment ou je me sens le plus excitée, je m’oblige encore toujours a m’arrêter et a compter down de neuf, huit, sept, six.... redescendre au moins a cinq... et me répète en boucle : ‘ c’est pour mon bien....’  en respirant profondément...

Et l’impression d’entendre sa voix me le dire comme lors de mes entrainements de petite chienne me donne a chaque fois le sourire. J’ai envie de me retourner et de le voir, la,  sous l’épaisse couette ou je me perds trop souvent.

Je repose ma main, mon bras au le bord du lit... la promene sur la couette... fatiguee, je m’en vais rejoindre les bras de morphee, simplement.

J’aimerais qu’il surgisse un jour bientôt peut être et me trouves dans cet état... descendant d’un avion ou d’un autre, se disant que ce serait dommage de passer à cote de cette si docile soumise endormie à l’attendre...