Le blog de M Y

 

Je tombe presque du lit, douche, brushing, dressing, j’ai l’impression de courir un marathon jusqu’au métro. Mince, le premier est déjà passe ! Faites qu’il ne soit pas déjà réveille en train de m’attendre !

 

 

Tous ces visages dans le wagon, encore endormis allant travailler déjà, j’ai l’impression que tous les regards sont rives sur moi comme s’ils savaient ou je me dirigeais, qui j’étais, une soumise docile sur le chemin vers son Maitre, une petite putain qui accourt des qu’il l’appelle ! Il faut dire que ma présence détonne un peu, je dois être la seule femme dans le wagon en dessous de la quarantaine, un peu trop habillée aussi pour l’heure. Je baisse les yeux comme s’ils trahissaient mon excitation à me diriger vers lui.

 

Des images se succèdent dans ma tête...  comme cette vidéo choisie en douce dans a sex-shop le visage rouge comme une pivoine, tête baissée, mais y allant quand même pour le Maitre... ou cette cravache choisie avec attention durant des minutes qui m’ont semble des heures sous le regard du vendeur... le sourire des filles planquées dans les coins de cette rue ou je suis allée la chercher…

 

Je sonne a la porte ‘c’est qui ?’ ….. D’une voix si faible que s’en est presque un murmure je parviens à articuler du couloir espérant que personne ne m’entende ‘ta soumise’.

 

La porte s’ouvre, je m’engouffre a l’intérieur au plus vite sans me retourner ‘déshabille toi’ je m’exécute sans un mot, et m’agenouille docilement au pied du lit ou il se repose, risquant un regard dans sa direction, je ne peux m’empêcher de me dire qu’il est vraiment trop beau gosse ! envie d’approcher furtivement ma main, de toucher son corps si… parfait, même allonge ainsi il s’en dégage une force, une attirance…

 

Je frissonne soudain à genoux nue sur ce lit. Comme s’il l’avait ressenti, il me fait signe de venir m’allonger auprès de lui et me prend dans ses bras, recroquevillée au creux de son corps, c’est comme tout s’effaçait, le stress, les ennuis, le monde autour… plus rien n’existe que le contact de sa peau, le battement de son cœur, sa respiration sur laquelle vient se calquer la mienne... comme si mon corps devenait l’extension du sien, un petit kangourou dans la poche d’un grand, abandonnée, confiante, enfin en sécurité

 

Couchée prés de lui, je me frotte contre ses cuisses, moulée... elles s’écartent doucement me faisant une place, je sens une bosse gonfler contre mes  fesses...  son érection se fait plus ferme, il me murmure  quelque chose que je ne comprends pas... ses bras enserrent un peu plus mes épaules, sa main vient se poser sur la mienne, l’emprisonne fermement...

 

L’autre vient soudain caresse mes fesses, mon ventre,  ma poitrine, mes seins se dressent, il les pelote, prend leur chair a pleine main, les enserrent, le pincent doucement d’abord, puis de plus en plus fort, je laisse échapper un gémissement, le contraste de la douleur soudaine avec la chaleur de son corps entourant le mien, il l’accentue encore, ne relâchant pas son emprise, il roule l’extrémité si sensible entre ses doigts, c’est une véritable torture !

 

Je ne peux m’empêcher de me trémousser… l’excitation monte a l’intérieur de moi, ma chatte commence à me chatouiller comme si elle était directement relie a mon sein, a ses doigts qui le pince, l’écrase avec une force déterminé, je gémis  comme au beau milieu de mes plus doux fantasmes.

 

Sa main se pose alors sur ma nuque, m’invitant à descendre…

 

 

Jeu 20 nov 2008 Aucun commentaire