Le blog de M Y

 

Je ne peux rien te refuser.

 

Es-tu sur ? Tu ne vas rien refuser ? C’est la dernière fois que je te le demande...

 

Non… non….hummm… je ne suis pas masochiste mais devenir l’objet de plaisir de mains douces, me guidant… avec sévérité…

 

Une lueur s'allume dans ses yeux sombres, il cherche à se rapprocher, je le repousse, ironique. Retire ton peignoir ! Il sursaute et exprès, fait signe que non. Imperturbable, je m'approche, attrapant le cordon, faisant sauter le nœud. Le peignoir s'ouvre, libérant son sexe dressé déjà. Je le lui retire, sans douceur, le laissant nu et soudain quelque peu pudique.

 

Mets-toi à genoux ! Ma voix se fait soudain plus dure et son corps a un frémissement de plaisir. Il s'agenouille, frétillant de désir et pourtant un peu humilié. Il observe au passage, mes cuisses qui passent au niveau de ses yeux baisses, qu'il aperçoit, avant que je ne le rudoie…de la voix…. Embrasse-moi les pieds ! Il me regarda, sans avoir l'air de comprendre…Il ne s’est pas encore soumis vraiment, il n’en avait pas imagine toutes les implications… se dit soudain qu’il a oublie de précise ses préférences. Je me penche d'un geste vif et soudain, il entend, en même temps qu'il ne le sent, ma main claquer, vivement, sur sa fesse !

 

Sous la légère douleur, il se cabre, ouvre la bouche comme pour protester. Je ne lui en laisse pas le temps et le fais alors s'agenouiller, tout à fait, les lames de parquet commençant à marquer ses genoux, l'obligeant à poser ses mains, loin devant lui, dévoilant ses fesses, dans une posture encore embarrassante pour lui.. Mais oh combien savoureuse, à mes yeux !

 

Il cherche à se redresser…vlan ! Une autre claque plus forte cette fois retombe, au même endroit, provoquant une chaleur plus diffuse…. Je m'avance sur le coté, pliant un genou, prêt de son visage… T'ai-je fait mal ? Il sourit alors essayant de recouvrir un peu d’arrogance, secouant la tête…  Ah bon ? Recommençons, alors ! Vlan ! Il sursaute vraiment cette fois, sa fesse commence à chauffer...  Je palpe ses fesses comme pour en évaluer le volume, pour en mesurer quel serait le meilleur angle d'attaque, al.ors qu’il commence à ressentir cette honte délicieuse d'être ainsi exposé, a la merci d’une femme qu’il désire, mais ne pourra sans doute jamais atteindre.

 

Je décide alors de le laisser ainsi dans l'attente de longues minutes, contemplant son intimité exposée et les sensations qui le traversent. Puis une autre claque s'abat, lui arrachant un petit cri de surprise. Puis d’autres, plus suivies, alternant d’une fesse a l’autre… une douce chaleur commence à lui mordre l'arrière train…elle se diffuse jusqu'à son bas ventre attisant son désir.

 

Pour le calmer, j’élargi le champ au pourtour de son fessier, claquant maintenant le haut des cuisses, les flancs pour parfaire l'unité pourpre qui recouvre ses fesses, pour revenir soudain sur ses fesses, augmentant sensiblement la force des claques. La douleur semble commencer à être intense, il tente désormais d’échapper à la fessée, remuant en tous sens, essayant d'interposer sa main, rien n'y fit... Sans un mot,  la fessée continue inexorablement.

 

Ma main libre se glissa alors sous son ventre, puis jusqu'à mon entrejambe, forçant ainsi ses cuisses à s'écarter légèrement. Outre une vision encore plus humiliante de ses fesses écartées qui s'ouvrent maintenant sans équivoque, dévoilant l’état d’excitation de son sexe...  cela oblige par la même occasion ses muscles fessiers à se détendre, à s'attendrir. Tout en le caressant légèrement, je claque de plus belle ses fesses  qui tressautent en cadence.

 

C'est à ce moment qu’il prend conscience qu’il résiste encore, que son abandon est loin d’être total, seulement à ce stade, en renonçant à cette résistance, en acceptant résigné que la fessée puisse continuer encore longtemps, c'est en abaissant ces premières barrières mentales, que la douleur semble soudain  laisser la place à une sourde vague de plaisir qu’il ne connaissait pas.

Jeu 23 oct 2008 Aucun commentaire